IKIGAI

Si je vous disais que cet outil a une telle puissance, qu’il m’a poussé à m’installer en tant que praticien du bien-être.

C’est en me promenant sur internet que j’ai découvert cet outil, une philosophie… avec une phrase tout de même accrocheuse « votre raison d’être ».

D’autres articles parlaient de l’IKIGAI comme un secret de longévité pour les habitants centenaires d’Okinawa au Japon.

Intéressé par ses promesses, j’ai cherché de longues heures dans des articles ce qui me permettrais de connaître ma raison d’être. La tâche n’a pas été facile car à l’époque il n’y avait aucun ouvrage francophone sur le sujet. J’ai lu ensuite qu’un professeur d’université orientait ses élèves en fin de cycle avec un questionnement issu de l’IKIGAI. Je voulais connaitre le secret !

Aventurier du web, je trouve plusieurs synthèses d’anonymes représentées par des cercles qui se croisent et vous permettent de définir votre IKIGAI.



Je lis aussi que l’IKIGAI est défini assez tôt dans la vie des Okinawaïens. Que leur raison d’être peut-être professionnelle (pêcheur, agriculteur, bâtisseur…) ou sociale (père, grand-mère, responsable de famille, amis de tel ou tel personne…).

L’IKIGAI évolue au fil de votre vie et peux changer.

Mon premier travail a été de transposer ce modèle à notre mode de vie occidentale. L’idée étant de savoir comment vivre mon IKIGAI avec mes contraintes d’occidentaux :

– J’ai 22 ans, je suis en apprentissage de tel ou tel métier, mais ça ne me convient pas. J’aurais aimé être… Violoniste ? Chanteur ? Influenceur ? E-Sportif professionnel… Je n’ai pas les moyens financiers de pouvoir tout arrêter pour vivre mon IKIGAI. J’ai mon loyer à payer… Mes parents ne me suivront pas dans ce délire…

  •  – J’ai 50 ans, je suis responsable en ressource humaine dans un magasin et responsable de famille. Mon IKYGAI serait d’être active dans le milieu humanitaire comme la croix rouge, partir à l’étranger aider des gens en détresse. Problème, il m’est impossible de quitter mon travail, j’ai des bouches à nourrir et 5 semaines de vacances par ans.

Une fois les contraintes identifiées, beaucoup de gens s’arrêteraient à penser que cette philosophie n’est pas applicable avec notre mode de vie occidental. Après tout, nous n’avons pas les même problèmes que ces gens qui vivent de pêche et de cueillette et qui vivent dans un contexte social différent…

Pourtant vivre sa raison d’être, c’est vivre heureux. Et vivre heureux c’est aussi potentiellement vivre plus vieux.

L’antonyme du bien-être qui serait le mal-être, les angoisses, la lassitude et par synonyme de ces derniers, la déprime, la maladie, ou la tristesse… sont des états qui peuvent favoriser l’arrivée de maladies.

Les études scientifiques se succèdent et suggèrent l’influence de l’état de notre psyché sur des maladies très actuelles comme les cancers, dépressions et tout un tas de maladies psychosomatiques. 

L’augmentation des suicides ces 50 dernières années peut trouver une source dans l’augmentation des maladies psychologiques. 

À l’inverse des thérapies du rire ont vu le jour, la rigologie, le yoga du rire etc… 

Ici encore, les recherches se succèdent pour montrer l’influence du rire et donc d’une émotion positive sur le bien être des humains.

Mais plus simplement, être heureux dans la vie de tous les jours, parce que vous vous levez le matin avec la perspective de vivre votre raison d’être à un moment dans une journée, suivi de plusieurs jours par semaine, et jusqu’à la fin de votre vie pourrait donner un nouveau sens à votre existence. Prenant en compte vos contraintes de vie, je vous accompagne à réalisation de votre IKIGAI, et ensuite à l’aide d’outils comme la P.N.L., ou l’hypnose, je vous aide à mobiliser vos ressources intérieurs, et vos compétences pour y parvenir.